La pollution visible et invisible de nos activités affecte même les endroits les plus reculés de la planète. Au fur et à mesure de notre croissance, la gestion de nos déchets sera l'un des objectifs principaux. Quels sont les systèmes de gestion utilisés aujourd'hui ? Quel est le nouveau projet prévu ? Comment accompagner la transition vers un management plus responsable au niveau individuel ? C'est ce qu'on a découvrir dans ce nouveau thème.
Les différentes sortes de déchets selon leur nature
Tout d'abord, selon la définition proposée par l'Union européenne, un déchet est « toute substance ou tout élément dont le détenteur se défait ou a l'intention ou est tenu de se défaire ». Dans nos activités ou notre vie personnelle, on utilise chaque jour un grand nombre d'objets pour l'
écologie. On se débarrasse d'eux lorsque leur tâche est terminée. Le produit devient alors un déchet, généralement divisé en quatre catégories. Le premier concerne le déchet agricole, qui arrive en tête avec 375 millions de tonnes par an.
La
planète écologie fait partie de l'un des objectifs planétaire. Par exemple, il comprend les déchets provenant des forêts, des cultures ou de l'élevage (comme le marc de raisin) et les déchets des industries des fruits, des légumes ou de la viande. La plupart sont biodégradables et peuvent être réutilisés pour l'engrais et l'alimentation du bétail sans passer par l'élimination des déchets. Viennent ensuite les déchets de construction, avec 130 000 000 de tonnes par an. La plupart sont de gravât de démolition, tels que des briques ou des blocs de béton. Ils sont pris comme inertes, ce qui signifie qu'ils ne sont pas nocifs pour l'environnement.
Les statistiques qui déterminent la nature des déchets
En conséquence, la quantité de déchets augmente plus rapidement que toute autre source de pollution environnementale, y compris les gaz à effet de serre. Pour
protéger la nature, chaque année, le monde doit éliminer 2,1 milliards de tonnes de déchets solides, dont 33 % ne sont pas gérés de manière écologiquement rationnelle. On estime que d'ici 2050, ce nombre augmentera de 70 % pour atteindre 3,4 milliards de tonnes. Ne représente que près d'un tiers de tous les déchets de la planète.
Les palmes des mauvais élèves atteignent l'Asie de l'Est et le Pacifique, mais en France, chaque habitant produit encore en moyenne 590 kilogrammes de déchets par an. La production continue de croître d'environ 1 % par an. Ils empoisonnent la faune qui habite leurs habitats et constituent un véritable frein à la croissance économique du pays en raison de la nécessité d'assainir, d'améliorer la potabilité de l'eau et de renforcer l'attractivité des zones dégradées.
Système de gestion des déchets par triage selon leur nature
Bien sûr, cela aurait des conséquences désastreuses pour toute la biodiversité. Pour rappel, un mouchoir en papier laissé dans la nature demande environ 3 mois à se dégrader, alors qu'un chewing-gum demande en moyenne 5 ans. Les autres, comme la pile, contient un produit hautement toxique qui s'infiltre dans le sol et les nappes phréatiques dont on puise l'eau.
Les déchets humains sont une cause majeure de pollution des eaux douces. Si 80 % de la pollution marine provient actuellement de la terre, c'est parce que la plupart de nos déchets, mal gérés ou abandonnés dans la nature, finissent dans les eaux de la Terre. Portez-le avec le vent, portez-le avec la rivière, la longue route sortira nos objets du quotidien du système de traitement pour l'écologie. Quant au plastique, il représente aujourd'hui 90 % des déchets marins et demain sa production pourrait représenter 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. En conséquence, les déchets non gérés ou mal gérés peuvent entraîner l'érosion des sols, la pollution de l'air et de l'eau. Cela demande les actions d'
éco-responsable.
Mode de gestion classique des déchets par triage selon leur nature
La gestion des différents déchets comprend toutes les étapes de la collecte, du transport et du traitement jusqu'à l'élimination ou le recyclage. Une fois laissés à la poubelle et collectés par un service de
gestion des déchets, 26 % des déchets sont acheminés vers un centre de stockage ou une décharge pour l'écologie. Là, ils sont compactés puis enterrés ou laissés à l'air libre pour se décomposer progressivement au fil du temps. En d'autres termes, la solution n'est pas durable, car il n'y a absolument aucune réduction de la quantité de déchets. D'autre part, leur dégradation libère du méthane dans l'air, qui est considéré comme hautement toxique et considéré comme un important gaz à effet de serre.
32 % de nos déchets seront incinérés à très haute température. C'est déjà mieux ici, car les déchets ont disparu et l'énergie générée dans le processus est souvent réutilisée pour le chauffage urbain ou la production d'électricité. Le résidu solide obtenu après incinération peut également produire ce que l'on appelle le clinker, un type de béton utilisé comme matériau de construction.